
Ritter Sport
Ritter Sport – les chocolats des sportifs
Les tablettes de chocolat Ritter, pour tous les goûts et envies, de grande taille ou mini pour les grandes et petites pauses, pour le goûter et pour après le sport. Il y a plein d'occasions de profiter d'un Ritter sport. Pratique à ranger, facile à manger, difficile d'y résister.
Il suffit de casser en deux le chocolat dans son emballage « knick pack » pour que celui ci s'ouvre en deux et présente son contenu, une merveilleuse barre chocolatée à base de cacao du Nicaragua, issu de l'agriculture durable. Enfin du plaisir sans mauvaise conscience, à consommer après le sport, ou avant....
Réalisés à partir de cacao durable du Nicaragua, les Ritter Sport se déclinent pour tous les goûts :
-Les classes cacao « Kakao Klasse » pour les amateurs de cacao, reconnaissables à leurs couleurs vives et à la fève de cacao sur l'étiquette, de 55% de teneur en cacao jusqu'à 81% pour le plus fort, en passant par 61% et 74%.
-Les classes noix « Nuss Klasse », avec leur croquant et leurs recettes originales, comme la tablette aux noix de cajou, celles aux flocons de riz, chocolat blanc et noisettes entières, la délicieuse tablette au chocolat blanc et amandes grillées, salées enrobées de miel ou bien encore la tablette au chocolat noir 50% de cacao et noisettes entières.
- Les classes Vegan, avec par exemple les tablettes au quinoa et amandes à 50% de teneur en cacao.
Découvrez l'histoire de Ritter Sport dans les paragraphes suivants. D'abord contrainte à une production très faible sous le régime nazi, l'entreprise s'est développée dans l'après-guerre avec ses tablettes carrées, pratiques, de toutes les couleurs et pour tous les goûts.
Un peu d'histoire...
Les chocolats Ritter Sport sont créés en 1912, par Alfred Eugen Ritter et Clara Ritter, dans les environs de Stutgart à Bad Canstatt.
L'usine connaît un certain succès et très vite de nouveaux locaux ouvrent à Waldbuch (à moins de 100km) pour augmenter la production.
Et quelques années plus tard les tablettes de chocolat Ritter Sport dans leurs fomes carrées que nous connaissons aujourd'hui arrivent, l'idée était de faire une tablette de chocolat du même poids que celles existantes sur le marché mais qui rentre dans toutes les vestes de sport sans se casser.
Lors de la montée du Nazisme, le réapprovisionnement en cacao est limité à 75 000 tonnes par an, soit à peine 75% des importations des années précédentes pour l'usine.
Pendant la 2nde Guerre Mondiale, la production ralentit énormément avec le service militaire, la rareté des ressources, l'usine continue de tourner pendant un instant. Devant l'insistance de Alfred Eugen Ritter de ne pas rejoindre le NSDAP (le parti nazi) l'usine se voit privée de ses droits d'exploitations du cacao et se tourne alors vers d'autres produits (comme des bonbons gélifiés).
Lors de la dénazification, Alfred Eugen Ritter se voit nommé maire provisoire de Waldenbuch par les alliés comme il n'avait rien à voir avec le régime Nazi.
À sa mort en 1952, son fils Alfred Otto Ritter prend le contrôle de l'entreprise.
Et c'est ce même Alfred Otto Ritter, qui en 1974, révolutionnera l'image de la marque avec les emballages de couleur, chaque variété de chocolat aura son propre emballage. L'évolution de la marque est parallèle à l'évolution de la télévision en couleurs, «tout devient plus coloré, plus joyeux, plus moderne, plus actif – et ça inclut le chocolat qui vient avec».
L'emballage des Ritter qui viennent d'avoir leurs couleurs distinctives, va alors vivre une révolution de plus avec le « Knick pack » (l'emballage s'ouvre en cassant le chocolat à l'intérieur). Cet emballage finit par différencier Ritter Sport des barres chocolatées traditionnelles et devient rapidement un élément distinctif de la marque.
En 1978, Alfred Theodor Ritter et sa sœur Marli Hoppe-Ritter prennent la direction de l'entreprise.
En 1990, avec les engagements anti-atomiques, les politiques vertes et les tendances écologiques viennent des engagements de la part des entreprises allemandes, et ainsi Ritter Sport prend ses responsabilités avec son projet économique CACAONICA, qui soutient les producteurs les plus petits dans la production durable de cacao.
Ce projet améliore les conditions de vie des familles dépendantes de l'agriculture et en même temps vise à réduire la déforestation en Amérique du Sud.
C'est dans ce même esprit que les emballages de Ritter changent, d'un materiau composite au polypropylene, un materiau inodore, alimentaire, non-toxique, stérilisable et recyclable.
En 1996, Ritter Sport est la première entreprise de l'industrie allemande de la confiserie à participer avec succès aux directives sur l'éco-audit. L'entreprise a ainsi organisé la protection opérationnelle de l'environnement dans le cadre d'un système de gestion global.
Depuis 2002, Ritter Sport exploite son unité de production combinée de chaleur et d'électricité selon le principe de la cogénération. Cette centrale a été remplacée en 2016 par une plus grande cogénération reliée à un système de refroidissement par absorption supplémentaire. Ce système permet d'économiser chaque année environ 13 millions de kilowattheures d'énergie primaire, ce qui correspond à environ 1,3 million de litres de mazout. Par conséquent, les émissions de CO2 ont été réduites de 2 900 tonnes en 2016. À titre de comparaison : il s'agit de la quantité de CO2 causée par environ 2 410 ménages individuels par leur consommation d'électricité - en 2015, il s'agissait seulement d'environ 1980 ménages. La chaleur résiduelle de la cogénération est utilisée pour le chauffage. Ritter Sport produit ainsi elle-même environ 70 % des besoins en chaleur et 37 % de l'électricité dont elle a besoin.